dimanche 25 mars 2007

Le flop de la ps3...

Vous le savez sans doute, mais la ps3 a fait un flop à son lancement, d'ailleurs voici deux podcasts :

- Lien 1.
- Lien 2.

Par contre je ne sais pas ce qui m'arrive, mais je commence à éprouver de la sympathie pour la ps3. Peut être du au fait qu'elle s'est cassé la gueule je ne sais pas (j'aime bien défendre les derniers
).

Objectivement :

-elle a la meilleure line up de cette génération (Virtua Tennis et Virtua Fighter c'est autre chose que Kameo et PD0).

-elle est silencieuse et apparemment fiable (pas comme la 360 ).

-paradoxalement, je trouve que les jeux multiplateformes sont TRES vites arrivés à une qualité équivalente à leur homologue 360, pour une machine réputée très compliquées à programmer je trouve ça très bien...

Donc voilà, un message un peu inverse de ce qu'on lit habituellement.

jeudi 22 mars 2007

La ps3 sort demain


Demain sort la ps3, prochaine console du leader des deux dernières générations, Sony.
Seulement,les "exclusivités" qui se transforment en multi plate-forme ainsi que le prix jugé excessif de la console, allié à la très grande popularité de la wii et à l'attachement dont font preuve les gamers envers la Xbox360, tout ceci ne va t'il pas être fatale à sony?

Réponse en 2008...

mardi 20 mars 2007

Pirates des Caraïbes, jusqu'au bout du monde


La bande annonce de Pirate des Caraïbes 3 vient de paraitre
Vous pouvez d'ailleurs la voir ici.

Ayant beaucoup apprécié les deux premiers films de cette trilogie, j'attend avec beaucoup d'impatience la sortie du troisième épisode, le 23 mai...
Si j'ai trouvé le personnage de Jack Sparow un peu caricatural dans le second, j'ai été assez époustouflé par Orlando Bloom, qui depuis le seigneur des anneaux gagne ses galons de grand acteur...

dimanche 18 mars 2007

L'étoile du mal


Etant complètement fan de films de série B, je vais donc vous tenir informé des nanars qui passent sur les chaînes hertzienne.

Ce soir à 22h50 sur RTL9 "L'étoile du mal", un film dont le scénario me fait baver...

Quand ils s'aperçoivent que la comète de Halley est prête à rentrer dans le système solaire, des scientifiques anglais et américains décident d'envoyer la navette Churchill l'étudier de plus près. A bord, le colonel Carlsen et son équipage découvrent qu'un vaisseau extraterrestre s'est niché dans la tête de la comète. Ils se rendent dans le vaisseau et découvrent plusieurs créatures ressemblant à des chauve-souris et trois humains décédés, mystérieusement conservés dans des cocons. Ils décident de les ramener sur Terre. Mais quand la navette Churchill atterrit à Londres, les responsables du projet découvrent que tout l'équipage est mort, sauf le colonel Carlsen...




Bref je suis d'avance conquis et complètement fan :o

samedi 17 mars 2007

Pourquoi la N64 est elle mal aimée?

C'est une question que je me pose depuis longtemps, gamer depuis une quinzaine d'années, j'ai toujours essayé dans la mesure du possible d'être objectif vis à vis des qualités et défauts des consoles, même si j'admet vouer une admiration presque maladive à la snes.Et je remarque que même avec un certain nombre d'année de recul énormément de gens (et pas seulement le grand public) vomissent sur la N64, alors que c'est je pense une machine qui a beaucoup apporté à notre univers:
-le jeu de plate forme 3d(si on excepte jumping flash sur play).
-les quatres ports manettes
-pratiquement les seules jeux utilisant une ancienne license 2d qui ont parfaitement réussi leur passage en 3d.
-etc,etc


Cette console a vraiment apporté beaucoup de choses, et même si j'aime énormément la gamecube, je ne peux m'empecher de penser que aucun jeu ne m'a encore autant émerveillé (depuis l'aire 32 bits) que zelda 64, sorti en même temps que la dreamcast et qui a presque occulté cette dernière le temps d'un noel...

Guardian of the Hood, un beat them all digitalisé





Voilà, effectivement aujourd'hui je parcours ma romset mame, et je découvre des trucs :oops:

On avait eu la mode des beat them up digitalisé (initié par Pit Fighter) qui ont compris Mortal Kombat, Primal Rage, Kasumi Ninja etc, mais à ma connaissance il n'y avait eu que peu de beat them up digitalisé (sans doute à cause des ressources que demandait l'animations de multiples personnages digitalisés).

Atari a donc franchi le pas en 1992 avec Gardian of the Hood, un double dragon like entièrement digitalisé.


En prime un scan de magazine de l'époque

De la respectabilité des jeux videos

Voila, je joue depuis mon enfance et au jour d'aujourd'hui j'ai toujours du mal à faire accepter que ceci est pour moi une forme de culture, au même titre que les films.

Je pensais naivement que l'adésion massive du grand public avec la playstation permettrait en plus de la démocratisation une prise de conscience de la population quant à la différence entre un jeu vidéo et un jouet.

Je lis énormément et il m'arrive vraiment de ressentir la même chose en jouant qu'en lisant un bon livre (même si aucun jeu ne m'as encore paru aussi poétique que mon livre favori "le petit prince") et je suis persuadé qu'a partir du moment ou le public "grandira" les éditeurs seront forcés d'avoir une démarche moins commerciale.

Bien sur, certain jeu sont admis être plus "culturellement acceptables" que d'autre, par exemple zelda tww ou encore ico mais je reste persuadé que les jeux vidéos sont encore perçu par les masses comme un jouet (je sais que je me répète mais cela me chagrine vraiment).

Je voudrai avoir votre avis sur la question.

Le retrogaming, de l'ombre à la lumière

L'événement de cette fin d'année 2006 aura été la sortie de la Wii de Nintendo, console dont, en plus des fonctionnalités liées à sa manette, un des principaux "avantages" est la Virtual Console, autrement dit le fait de pouvoir télécharger et utiliser, moyennant paiement (de 5 et 15€ environ), des jeux 8,16 et 64-bit sélectionnés par Nintendo sur proposition de leurs éditeurs respectifs.
La Xbox 360 propose déjà, avec le Live Arcade, de jouer à certains hits ancestraux comme Joust, Street Fighter II ou Doom, mais la vocation première de ce service n'est pas le retro-gaming, plutôt l'édition de nouveautés à budget restreint (les jeux rétros s'y voient en général modernisés avec l'apport de modes online et d'un lifting graphique). Avec la Wii, on assiste donc pour la première fois à la sortie d'un système qui fait vraiment de la (re)découverte d'un patrimoine vidéoludique un de ses principaux arguments de vente, permettant aussi bien aux joueurs nostalgiques de revivre une partie de leur enfance qu'aux "nouveaux" de se plonger dans les origines de séries dont ils n'ont connu que les derniers opus. Une console peut donc revendiquer pleinement sa capacité à compléter la culture de ses utilisateurs. On peut alors mesurer à quel point, en une dizaine d'année, la manière de considérer le retro-gaming a évolué.

Accessible aux initiés depuis une dizaine d'années sur PC, l'émulation de jeux rétros (qui consiste donc à faire fonctionner des jeux d'une machine quelconque sur un ordinateur plus puissant) est à l'origine le fruit des efforts d'une poignée de geeks, tout aussi heureux de la performance technique que du fait de pouvoir jouer à leurs anciens jeux et en archiver les données. Il faut en effet savoir qu'en ces temps reculés (1994-95), Internet n'étant pas aussi développé qu'aujourd'hui, il était très difficile pour un programmeur de trouver de la documentation technique sur la Super Nintendo, par exemple, qui avec ces multiples chips graphiques et sonores a mis très longtemps avant d'être correctement émulée sur PC (d'ailleurs au jour d'aujourd'hui il y a encore quelques jeux qui posent problème). Il y avait donc une fierté légitime pour un développeur à avoir su reproduire virtuellement le fonctionnement de toute une flopée de microprocesseurs sur un x86. Néanmoins, cette prédominance de la performance technique au dépend de la recherche de facilité d'utilisation par le néophyte a longtemps cantonné les émulateurs au domaine des initiés, au versant "underground" de l'informatique. On retrouve d'ailleurs de nos jours un peu de cette tendance dans le fait que certains partisans du retro-gaming prônent un arrêt de développement de tous les front-end (habillages graphiques pour émulateurs comprenant par exemple des menus de lancement de jeux, de configuration de pads, etc.) afin d'éloigner le grand public de la chose.

Néanmoins, au fur et à mesure du développement d'Internet, le retro-gaming s'est répandu à une population de plus en plus large, principalement d'anciens utilisateurs des systèmes émulés. D'un retro-gaming purement nostalgique, on est peu à peu passé à un retro-gaming culturel, c'est à dire que l'on a commencé à rejouer non seulement aux jeux qu'on avait possédés, mais également à ceux dont on avait toujours rêvé sans pouvoir mettre la main dessus (et dont, grâce à la volonté de certains fans, on a parfois pu profiter dans des meilleures conditions qu'à l'époque, comme par exemple pour Final Fantasy VI qui a été entièrement traduit en français par des fans, alors qu'il n'était même pas sorti dans notre beau pays à l'origine). Cette tendance à la découverte intemporelle a permis l'émergence et le succès de sites comme Grospixels, qui en plus de communauté de joueurs fait office de « catalogues » d'anciens jeux, où l'on pioche des idées de titres à essayer.

L'âge d'or de l'émulation sur Internet aura sans doute été la période 2000-2002, avec une visibilité suffisante sur le net pour attirer un public considérable, ceci allié à la facilité d'utilisation sans cesse accrue des émulateurs. Les fabricants de console ont progressivement vu la chose d'un oeil différent : on se souvient par exemple de la réaction virulente de Sony à l'annonce du premier émulateur Playstation sur Mac. L'émulation étaient donc vue d'un mauvais oeil, mais les marchands des jeu vidéo ne proposaient aucun palliatif sérieux en dehors des quelques tentatives de Namco et sa série des Namco Museum regroupant des jeux d'arcade du début des années 80. Nintendo, de son côté, rééditait régulièrement ses hits sur ses consoles portables, mais on peut difficilement associer cette offre là au phénomène retro-gaming dans la mesure où la sortie de ces jeux ne s'inscrivait pas dans un contexte global de conservation du patrimoine, mais plutôt dans une considération opportuniste de la tendance des acheteurs à racheter au prix fort les jeux les ayant fait rêver étant plus jeune.

Aujourd'hui, la Wii et sa Virtual Console tirent un trait définitif sur de telles rééditions, et nous propose d'acheter des jeux rétros pour ce qu'ils sont vraiment. Leur prix de vente est alors théoriquement calculé sur la base des seules contraintes techniques de leur mise en circulation. Mais en est-il vraiment ainsi ? N'essaie-t-on pas une dernière fois, avant qu'ils soient définitivement classés comme des pièces de musée, de tirer un bénéfice de ces jeux ? Ainsi on arrive à la question de l'utilisation commerciale du retro-gaming : sous prétexte de "conservation du patrimoine" et "d'histoire du jeu vidéo", les éditeurs doivent-ils tirer profit de produits rentabilisés depuis parfois plusieurs dizaines d'années ?

Dans un monde où la valeur d'un objet se mesure uniquement à son coût, peut-être est ce la seule manière de convaincre le grand public de la valeur des vieux jeux...

Bonjour et bienvenu

Bonjour tout le monde et bienvenu sur ce blog où nous allons parler de tout ce qui me passera par la tête, jeux vidéos, politiques, sociétés, ou informatique...